VIDEOS / INFOS DIRECT : Prise d’otages banque CIC Toulouse
Suivez en vidéo minute par minute la prise d’otages de la banque CIC de Toulouse.
17h25 — FIN DE TRANSMISSION —
Un camion de pompiers vient de quitter les lieux, escorté par des véhicules de police.
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17h15 : Le forcené serait sorti avec un otage avant de rentrer. C’est à ce moment que le GIPN a lancé l’assaut.
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17h13 :
Le preneur d’otages est dans l’ambulance, il est blessé à la cuisse.
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17h08 :
Le forcené tentait de mettre le feu à l’agence bancaire quand les hommes du GIPN sont intervenus.
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Le preneur d’otage serait légèrement blessé par balles. Les otages, eux, sont indemnes.
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16h59 :
Les otages ont été libérés. Le preneur d’otages est blessé, il est soigné sur place.
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16h55 :
LE PRENEUR D’OTAGES VIENT D’ÊTRE INTERPELLÉ.
Trois coups de feu viennent d’être tirés.
Le preneur d’otages est blessé.
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16h40 :
Une deuxième équipe du GIPN vient d’arriver de Marseille.
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16h35 :
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16h30 :
Le coup de feu était en fait une intervention du GIPN. Le bruit que de nombreux témoins ont pris pour un coup de feu en milieu d’après-midi était en réalité celui de l’ouverture en force d’un accès à l’arrière de l’agence bancaire par le GIPN.
Les démineurs auraient quitter les lieux, d’après Pascale Conte, journaliste à France 3 Midi-Pyrénées, sur place.
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16h04 :
Le forcené veut parler à la presse. L’homme aurait libéré des otages en échange de pouvoir s’exprimer devant les journalistes.
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16h02 :
L’homme retient toujours deux otages dont le directeur de l’agence bancaire CIC. Il a libéré deux otages, des femmes, dans le courant de la journée.
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Il n’y a pas eu de second coup de feu
Démenti du ministère de l’Intérieur
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15h52 :
Un séjour à l’hôpital Marchant. D’après une source policière, le preneur d’otages aurait effectué un séjour dans l’hôpital psychiatrique Gérard-Marchant.
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15h51 :
Un deuxième otage a été libéré.
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15h40 :
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15h39 :
Les policiers de la BRI encercleraient la banque selon des sources sur place.
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:
Le procureur de la République de Toulouse, Michel Valet, donne une conférence de presse. D’après une journaliste présente sur les lieux de la prise d’otages, il affirme que le forcené n’agit pas pour l’argent mais pour par conviction religieuse.
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15h30 :
Selon la police le forcené n’a aucun lien avec Al-Qaïda. Il serait connu de la police pour être un « illuminé ».
Un deuxième coup de feu a été entendu.
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15h20 :
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15h14.
La sœur du preneur d’otage témoigne : « Mon frère a la rage ». La soeur du forcené a joint son frère sur son portable au cours de la prise d’otages : « Il n’avait pas l’air d’avoir peur et il avait l’air bien », a-t-elle confié à l’AFP. La jeune femme qui habite Toulouse explique que son frère a 26 ans et qu’il « avait été placé à la Ddass quand il était petit, a la rage et a peur du monde extérieur ».
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15h20 :
Jointe par téléphone, la soeur du preneur d’otages, une jeune femme de famille nombreuse, qui habite Toulouse, a annoncé son intention de se rendre sur les lieux, avenue Camille-Pujol.
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15h08 :
La police judiciaire serait en route pour réaliser une perquisition au domicile du forcené.
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15h01 :
Le preneur d’otages serait originaire de Castres dans le Tarn.
Le maire de la ville et le président de la région Midi-Pyrénées sont sur place.
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15h :
L’auteur de la prise d’otages a des antécédents psychiatriques, selon une source proche du dossier. La Dépêche précise qu’il s’agirait d’un « schizophrène en rupture de traitement ».
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14h56 :
Conférence de presse du préfet prévue dans 15 minutes sur place.
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14h44.
Un homme seul et en rupture de traitement. Selon une source sur place, le preneur d’otages serait un schizophrène en rupture de traitement. Une information à confirmer.
De l’eau et de la nourriture aurait été apportés au preneur d’otages et aux otages.
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14h40.
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14h35. Une otage libérée. D’après un témoignage sur place, une otage aurait été libérée et prise en charge au QG du GIPN. De la nourriture a été demandée
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14h30. Les habitants de l’appartement situé au-dessus de la banque évacués au QG du GIPN. Les personnes ont été prises en charge au QG du GIPN à 200 mètres de l’établissement bancaire.
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14h30 : Le preneur d’otages prétend s’appeler « Boumaza », selon deux sources policières qui précisent que cette identité leur a été donnée phonétiquement et qu’elle doit être confirmée.
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: Un premier contact téléphonique aurait été établi entre le preneur d’otages et la police, rapporte La Dépêche. Aucun accord n’aurait cependant été scellé.
Le forcené aurait, de plus, affirmé aux forces de l’ordre détenir des explosifs, ce qui expliquerait la présence de démineurs, explique encore le site du quotidien régional.
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Un hélicoptère de la sécurité civile survole l’appartement de Mohamed Merah, affirme une journaliste de France Télévisions sur place.
« Je réponds aux clients de la banque. » C’est ce qu’a répondu par téléphone à l’AFP une employée de l’agence bancaire où a lieu la prise d’otages.
Très calme, elle a confirmé qu’elle se trouvait bien dans l’établissement en question mais s’est refusée à livrer toute information sur la situation à l’intérieur.
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Le forcené a pénétré dans l’agence CIC aux alentours de 11h ce matin. La prise d’otages dure maintenant depuis près de trois heures. Quatre personnes sont toujours retenues au sein de l’établissement.
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13h48 : Un ancien membre du Raid témoigne sur le site de la Dépêche.
Ce preneur d’otages est un pied nickelé. Il s’agit d’un acte isolé, d’un braquage qui a mal tourné. Ce qui s’est passé à Toulouse (notament l’affaire Merah, ndlr) a créé des vocations.
Robert Paturel, ancien membre du Raid
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13h40. Le GIPN prend position autour de la banque.
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13h30 : Le SAMU est sur place
13h : le quartier est bouclé, les caméras sont invitées à quitter les lieux
13h :
Un homme se réclamant d’al-Qaida a pris aujourd’hui quatre otages dans une succursale de la banque CIC, située au 72 avenue Camille Pujol, à Toulouse. Le directeur de l’établissement figure parmi les otages. Selon la police, l’homme demande la présence de l’unité d’élite du Raid. Il a tiré un coup de feu.
« Un dispositif est en train de se mettre en place pour engager le dialogue » avec l’individu, a dit le procureur de Toulouse Michel Valet joint sur place. Il a refusé d’en dire plus. Les Groupes d’intervention de la police nationale (GIPN) de Bordeaux et Marseille étaient en route pour Toulouse.
Un périmètre de sécurité a été mis en place pour tenir les curieux à l’écart dans un rayon de 200 mètres autour de la banque. Selon des témoins, les parents des élèves d’une école voisine ont reçu des textos leur demandant de venir chercher leurs enfants.
La ville de Toulouse a été le théâtre en mars des tueries de Mohamed Merah, un jeune jihadiste qui avait semé la terreur en tuant trois militaires et quatre personnes de confession juive. Se réclamant d’al-Qaida, il avait finalement été abattu le 22 mars par le Raid lors de l’assaut de l’appartement où il était retranché à Toulouse.
Très belle intervention encore une fois du groupe d’intervention.
Félicitations à eux.
Belle négociation, qui a permis à ce qu’il n’y ai pas de blessés. Bravo à tous.
très bon travail
un bon centre l’attend et dans 5 ans dehors?
belle synchronisation des faits